Nés dans le BAYOU






Quoi ? Qu'est-ce qu'elle a ma gueule ?




Eh oui : ils mangent (et doivent aimer parce qu'on en a vus se battre pour l'avoir) des chamallows ! Et dès qu'ils entendent le moteur du bateau, ils "accourent".
Pour les amateurs, sachez qu'ils sont rapides... Et que la force de leurs mâchoires est bien supérieure à celle des nôtres.
Bon, côté cours de Sciences Naturelles sur les alligators, je vous laisse chercher dans la grande documentation à disposition dans les livres et sur le net.
Pour les dernières nouvelles j'ai survolé un article qui me paraît intéressant datant d'après Katrina dont l'ombre plane avec force sur la Nouvelle-Orléans. À lire ici !









30 septembre

NEW ORLEANS


Au Starbucks Coffee.


Canal Street


Et le reste des images dans le "French Quarter", le quartier français. Où de nombreuses rues sont indiquées dans les trois langues des différents occupants : Français, Espagnols, Anglais.









Nous sommes ce soir, pour la 3e nuit consécutive (c'est exceptionnel !) dans un motel. Petit luxe avec kitchenette... À quelques miles du centre ville.
C'est le "Top Motel", situé "Chef Menteur Highway". Non, ça ne s'invente pas.
La longue barbe blanche du vieil Américain d'origine allemande non plus.
Pas plus que sa femme passionnée par les perroquets. Entre autres. Il y en a six qui "pérorent" à côté de notre fenêtre dès potron-minet.
Nos aubergistes sont charmants. D'ailleurs Madame nous a garanti sa probité. Pas de prostituée(s) chez elle, contrairement aux collègues tout au long de cette longue rue.
Tout va bien.
Pourtant, en cette fin de matinée, quand nous sommes partis vers le bayou, j'ai trouvé la jeune fille debout devant la palissade très court (et peu) vêtue dans son ensemble short rouge vif parfaitement moulant...
L'ambiance est tout aussi parfaite au supermarché où les rares gens de couleur sont les blancs. Deux fois sur trois nous y avons vu la police faire la ronde devant les caisses.
Et bon, je suis en train de dépeindre une ambiance que d'aucuns pourraient qualifier d'interlope. Mille excuses : l'endroit est tranquille, les gens sympathiques.
Mais il est vrai que certaines pauvretés sont bien visibles ici. Dans cette autre Amérique...

Notre hôtelière est arrivée tout à l'heure avec du pain fabriqué dans un très bon restaurant en ville tenu par une de ses amies allemandes. C'est le meilleur pain que nous ayons mangé depuis notre arrivée sur ce continent !
Merci !
29 & 30 septembre

LOUISIANE






Le Magasin Général où tous les achats de la vie courante se faisaient. Les esclaves affranchis reçurent un moment des jetons pour salaire et payaient ainsi la marchandise au General Store.


Avant l'arrivée à New Orleans...

Après la fin de "Old Natchez Trace", dans la petite ville de NATCHEZ, nous avons continué le long du Mississipi.
Superbe visite ce matin du Museum "West Bâton Rouge", à BÂTON ROUGE, la Capitale de la Louisiane.
Nous allons arriver à New Orleans dans quelques minutes. Température proche de la canicule (92° F, soit 33,3° C). C'est le subtropical et on sent les alligators tout proches (mais heureusement on n'en a pas encore vu la queue !).
28 septembre

NATCHEZ TRACE



NASHVILLE Tennessee 





PULASKI Tennessee



TENNESSEE River


Sur la OLD NATCHEZ TRACE, la piste Natchez que nous avons descendue du Nord au Sud avec quelques écarts "latéraux". Un axe culturel, économique, politique... historique !






Les premiers champs de coton.


À ROCKY SPRINGS où nous avons passé une nuit au camping "ouvert" du Parc, en pleine forêt.
L'église datant de 1837 est toujours debout. Le village est passé de 2600 habitants à... zéro !
La fièvre jaune (fin XIXe) a été pour beaucoup dans l'histoire de sa disparition.


De Rocky Springs il nous est resté quelques miles pour rejoindre NATCHEZ et la fin de la piste (longue de 710 km).


NATCHEZ : le Mississipi


Le FORT ROSALIE




Depuis le Fort Rosalie, la vue sur le Mississipi, le pont et son "Casino-bateau".


Petit retour en arrière avec cette image de la banlieue de PHILADELPHIE.